L’enfer des cœurs
A la file, elles défilent devant eux
Et à tâtons, ils les scrutent
Elles sont douées
Et eux dévoués
Le temps passe et les mâles trépassent
Entrainés par tout une machination
Il n’y a plus qu’un mirage devant eux
Celui-ci disparait dès qu’on s’en approche